Le domaine

EN QUELQUES MOTS

Treize hectares de vignes sur les beaux terroirs en coteaux de "l’Anjou noir", l’ouest de l’Anjou, celui du très vieux socle armoricain, des schistes, des grès, des roches volcaniques. Sols pauvres, à faibles rendements, pentus, en dévers, difficiles à travailler, mais matrice de grands vins structurés, qui allient longueur et densité, fraicheur et complexité, vins de gastronomie et de garde.
A la vigne, agriculture biologique certifiée, recherche constante du meilleur rapport travail humain/biotope, pour une culture non destructrice, durable. Travail au cheval sur tout le domaine, arbres, écoconstruction...Nous sommes dans l’ère de l’Anthropocène, cette prise de conscience doit nous amener à tout repenser du rapport de l’homme à son biotope. http://www.pressesdesciencespo.fr/fr/livre/?GCOI=27246100070300

Nos vins ? chenins de savennières, quarts de chaume, anjous blancs secs, demi-secs, et coteaux du layon liquoreux, anjous rouges issus de cabernets, Nous travaillons pour donner naissance aux vins et non pour les fabriquer. Nous accompagnons leur fermentation, leur élevage, en responsabilité : le vin est une création culturelle et technique humaine, nous voulons vous proposer des vins de terroir, qui peuvent vous parler, dans votre verre, de leur lieu de naissance, des vins à grande expression et potentiel de garde, et délicieux à table.

Cette recherche de l’expression du terroir, du respect du biotope, demande un travail humain conséquent. Actuellement, nous en sommes à un emploi pour deux hectares. Ce rapport devrait être un indice marquant du droit à l’AOC...Depuis plus de dix ans, le domaine affirme son engagement social par un partenariat avec un Esat, avec création d’emplois au domaine.

 

Domaine Patrick BAUDOUIN - Princé - 49290 CHAUDEFONDS-SUR-LAYON
FRANCE - Tél./Fax : +33 (0)2 41 74 95 03


"l'abus d'alcool est dangereux pour la santé" (article L.3323-4 du code de la santé publique)
"C'est la pénicilline qui guérit les hommes, mais c'est le bon vin qui les rend heureux". (Alexander Fleming)